Nombre de pages : 372
Format lu : Broché
Éditions : Hachette
La jeune Nica, âgée de 17 ans voit enfin son rêve se réaliser : elle va se faire adopter. Aura-t-elle doit elle aussi à son conte de fées dont elle parle tant ? Rien n’est sûr, lorsqu’elle se rend compte qu’elle va devoir cohabiter avec un autre orphelin du « Grave », qui n’est autre que Rigel, le garçon le plus mystérieux que Nica puisse connaître.
Rigel compte faire de la vie de celle qu’il surnomme « papillon », un véritable enfer comme au temps de l’orphelinat. Entre haine éventuellement mutuelle et sentiments naissants des deux partis, comment se passera la cohabitation ?
💭MON AVIS💭
⚠️TW. Violence, agression⚠️
Le roman se construit autour d’une métaphore de la nature, ce que je trouve assez original et je ne m’y attendais par forcément. 🌳💐 Il est expliqué au fil des pages que Nica est en réalité, une race de papillon 🦋. La jeune fille est décrite comme une jeune fille pleine de légèreté et de délicatesse comme la complimentait sa mère. Rigel est l’étoile la plus brillante de la constellation d’Orion ⭐️ et je trouve que les deux personnages illustrent tout à fait la signification de leurs prénoms : Nica est douce et légère tandis que Rigel à beau briller de mille feux, il reste inaccessible.
J’ai apprécié ce roman, mais j’ai eu du mal avec l’organisation des points de vues. Les 12 premiers chapitres sont écrits du point de vue de Nica uniquement. Quand on passe au 13ème, on est toujours sur le point de vue de Nica mais avec une coupure où l’on passe à une écriture à la troisième personne mais qui traite du point de vue de Rigel. Cela dure quelques chapitres, avant de repartir sur la rythmique initiale avec le seul point de vue de Nica en narrateur. C’est assez perturbant. 🫨
Je trouve ça dommage car Rigel est un personnage qui m’intrigue beaucoup et écrire ses points de vues à la troisième personne ne m’ont pas aidé à bien l’imaginer comme j’ai pu « voir » Nica. On se sent beaucoup moins proche de lui. Après je pense que cela à dû être fait pour une bonne raison. Peut-être qu’écrire à la troisième personne appuie la distance que Rigel met entre lui et le monde entier, à tel point qu’il ne veuille même pas nous faire part de ses émotions en écrivant « je ». Je ne sais pas si c’est la bonne explication, en tout cas c’est la seule que j’ai trouvé jusqu’ici. 🤷🏼♀️
La fin est assez mystérieuse et je ferme le premier tome avec un énorme point d’interrogation en tête, concernant les dernières lignes. Je ne sais pas encore si je lirai le tome 2, car j’ai trouvé de nombreux passages trop longs et d’autres inachevés. Malgré tout, cela reste une belle lecture qui lie, nature et douceur avec l’obscurité des deux personnages et de leur passé.
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